De l’excellence de la cueillette à la main.

L’origine du thé est sa première valeur. D’où l’appellation 100 % pure origine. Son pays, son jardin, son terroir cultivent sa personnalité.

C’est la façon de cueillir ses feuilles qui lui confère une âme selon Dilmah.

 Alors, bien sûr, certains producteurs récolent les feuilles de thé mécaniquement pour assurer leur rentabilité.

En tant que théiculteur-récoltant, Dilmah privilégie la cueillette fine à la main, la plus traditionnelle et encore actuelle des trois types de récolte manuelle.

La cueillette impériale.

Pratiquée autrefois en Chine pour les grands dignitaires, seul le bourgeon terminal et une seule feuille de thé sont prélevés. Evidemment trop coûteuse, elle n’est quasiment plus pratiquée de nos jours.

La cueillette fine.

C’est cette cueillette dont la maison Dilmah perpétue la tradition depuis toujours. Le bourgeon terminal et deux feuilles adjacentes et tendres sont cueillis par un œil et des mains expertes. C’est la partie de la plante, le camellia sinensis, la plus riche en antioxydants, où les huiles essentielles sont les plus concentrées et où les tanins sont les plus souples.

Chaque cueilleuse connaît parfaitement sa parcelle de jardin de thé qu’elle voit grandir et repousser au fil de l’année. Cela lui permet de choisir avec précision les parties les plus précieuses de la plante afin d’assurer les meilleures qualité et finesse des thés Dilmah.

La cueillette grossière.

Commercialement la plus répandue, puisque cette cueillette prélève trois feuilles et parfois au-delà plus le bourgeon. Cette sélection moins rigoureuse produit des thés standards. En effet, plus on descend dans la branche du théier, plus les tanins deviennent durs et la présence de branchages importante.

Jusqu’à l’excellence de la dégustation.

Grâce au positionnement géographique de l’île de Ceylan, la cueillette fine se pratique chaque jour de l’année. Nos 35 000 cueilleuses sélectionnent les pousses les plus jeunes et les plus tendres.

Les feuilles ainsi récoltées avec soin sont ensuite traitées selon un processus ancestral de flétrissage, roulage, oxydation et cuisson. Cette méthode dite « orthodoxe » respecte une technique, perfectionnée au fil des siècles, permettant de composer les quatre couleurs du thé : le thé vert (non fermenté), le thé noir (fermenté), le thé Oolong (semi-fermenté) et le thé blanc issu des seuls bourgeons.

Quand seul le meilleur est cueilli, recueilli, préservé, anobli… alors seulement, sera obtenu ce précieux nectar appelé thé Dilmah.